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 Meryl Spooner

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MessageSujet: Meryl Spooner   Meryl Spooner Empty03.11.11 8:01

Meryl Spooner


Meryl Spooner 1305557981074633000▬ Surnoms : Spoon
▬ Sexe : Féminin
▬ Âge : 21 ans
▬ Profession : Dresseur
▬ Région : Sinnoh
▬ Genre de Pokémon souhaité : Plante, psy ou dragon


Apparence physique


Meryl mesure un mètre soixante dix et pèse environ cinquante huit kilos. Ses cheveux sont d’un vert clair, coupés en carré. Elle ne garde qu’une seule mèche plus ou moins longue, du côté gauche de son visage. Attaché à celle-ci se trouve un ruban offert par sa soeur qaund elle avait seize ans. Elle n'a pas beaucoup de forme, mais cela reste relativement "normal" pour une fille de vingt et un ans. Si elle a hérité des cheveux de son père, c’est le regard de sa mère qui lui a été donné. Violet foncé, voir claire quand elle est au soleil, elle ressemble beaucoup à sa grand-mère maternelle

Côté look, Meryl porte un short de couleur marron ainsi qu’un tee-shirt violet. Ce dernier est couvert par un gilet manche court blanc, aux bordures et à la capuche jaunes. Ses chaussures sont des baskets blanches, montant jusqu'en aux de ses chevilles. La jeune fille ne porte pas de boucles d’oreilles, ni de bagues, colliers, bracelets etc… En revanche, elle aime se mettre du vernis sur les ongles et change tous les jours de couleur. Ça peut en effet passer du rose bonbon au bleu ciel. Comme tout explorateur, elle possède un sac à dos de couleur taupe ou elle y range tout son matériel.

Meryl ne se tient pas droite. Les épaules toujours voutées, elle essaie de changer cette habitude, mais chassez le naturel il revient toujours au galop ! En revanche c'est une personne qui a beaucoup d'aisance quand elle marche et elle est également très gracieuse dans ses mouvements, surement dû à ses cours de danse.

Meryl a une cicatrice sur le côté droit de son front. Elle se l'est faite après une chute quand elle avait quatorze ans. Depuis, si elle pousse sa frange on peut voir une discrète petite ligne plus blanche que sa peau.


Mentalité/Caractère


Dynamique: Véritable boute en train, quand Meryl fait quelque chose, elle le fait toujours à fond. Il lui arrive bien sur d'avoir des coups de mou, comme tout le monde, mais malgré cela elle reste dynamique quoi qu'elle fasse, que cela lui plaise ou non. Son secret est qu'elle voit toujours le bon côté des choses, du coup elle le fait avec plaisir et enthousiaste.

Extravertie: Le ridicule ne tue pas et heureusement sinon Meryl serait morte depuis belle lurette ! Peu importe ce que les gens vont penser d'elle, si elle désire chanter dans la rue, rire fort ou encore sauter de joie devant des passants, elle le fera. Ce qui est pour elle signe de liberté.

Drôle (enfin...): Des blagues ? Elle en connaît des tas ! Même si elles ne font pas toujours rire... Mais en tout cas avec elle on ne s'ennuie pas. Dernière en date : "Y'a un boucher qui marche dans la rue et hop, il s 'viande ! Mouahahaha." Oui, son humour c'est à peu près ça.

Enjouée: Toujours heureuse, il en faut beaucoup pour la mettre de mauvaise humer. D'ailleurs elle a une devise : "Sois positive et tu attireras le positive."

Imaginative: Il s'en passe des choses dans sa petite tête. Pratique quand on est exploratrice et qu'on s'essaie à la coordination de temps en temps. Meryl a toujours des idées, plus folle les unes que les autres, mais elle en a quand même. Souvent impossible à réaliser, elle note tout sur un petit calepin qu'elle garde précieusement dans son sac à dos.

Protectrice: Malheur à celui ou celle qui osera s'en prendre à un être aimé, car la belle vous le rendra aux centuples...

A l'écoute: Pas besoin de lui demander votre attention, Meryl est une personne à l'écoute et ouverte d'esprit. Avec elle vous pouvez parler sans crainte qu'elle aille le répéter et sans avoir peur qu'elle vous juge. Elle se permettra de vous donner conseille le plus impartialement possible.

Excessive: Meryl en rajoute toujours, c'est une évidence. Quand elle est malade elle va exagérer, quand elle fait les magasins elle n'arrive pas à s'imposer une somme précise, bref, elle est dans tous les extrêmes, n'arrivant jamais à être raisonnable.

Dramatique: Prenait une situation : Griz (Galekid) attrape un rhume. Pour Meryl cela veut dire qu'il va mourir. Oui, vous avez bien compris,la jeune femme dramatise toujours à un point alarmant. Quand vous êtes excessive ET dramatique, voilà le résultat...

Possessive: Meryl a tendance à considérer ses amis comme "siens". Si elle surprend l'un d'entre eux avec une autre personne, cela l'énerve considérablement, à tel point qu'elle serait capable de vous faire la tête sans même que vous ne sachiez pourquoi.

Têtue: Quand elle a raison, elle a raison et rien de ce que vous pourrez lui dire ne changera ça. Si par contre vous lui montrez une preuve ou qu'elle comprenne son erreur, elle ne persistera pas.

Jalouse: Surement son plus gros défaut, celui qui la suit depuis qu'elle est petite. Meryl jalouse presque tout le monde pour une raison différente à chaque fois. Elle parce qu'elle a de belles chaussures, l'autre parce qu'elle a un petit ami mignon, etc. Ah oui, elle ne jalouse que les filles.


Histoire



→ Every time she closed her eyes. [...] When she was just a girl, she expected the world. But it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. Dreamed of paradise.

Meryl est née à Charbourg. Elle a une sœur aîné et ses parents travail tout deux comme boulanger. Depuis toujours, l'enfant adorée la nature et courir dans l’herbe était son passe-temps favori quand elle était petite. Ses parents la cherchaient très souvent car elle se cachait dans les hautes herbes pour s’amuser un peu, ce qui n’était pas forcément du goût de tout le monde.
« Meryl ! Où es-tu encore ? Dépêche toi, j’ai fais ton gâteau préféré ! » demanda sa mère fatigué par les jeux de sa fille.
Cette dernière cachée dans les fleurs juste devant la maison. Seulement, elle était trop petite pour que sa mère puisse la voir. Elle se léchait les lèvres à l’idée de déguster ce gâteau dont sa mère lui avait parlé. Elle hésita deux petites minutes à se montrer et finalement, elle resta cachée. Sa mère, perdant patience, décida de s’avancer vers les fleurs. Pendant un détournement de regard, Meryl décida alors de s’échapper de sa cachette pour rentrer dans la maison. Une fois entrée elle se précipita dans la cuisine, sur la table était posé un magnifique gâteau au chocolat. Comment résister ? Elle s’avança lentement, la main levée et le doigt prêt à goûter le gâteau. Mais avant même qu’elle eu le temps de faire quoi que ce soit une voix masculine l’interrompit.
« Meryl. Ne touche pas à ce gâteau, et va plutôt chercher ta mère pour qu’on le mange tous ensemble. » La petite se retourna et couru dans les bras de son père.

Finalement, c’était une enfant aimante et pleine de surprises. Toute son enfance a été très familiale et faites de contes de fées en tout genre. Elle a été bercée par les histoires fantastiques et c’est tout naturellement que le monde magique de Pokémons l’attira. Très vite elle se prit de passion pour ces créatures toutes plus incroyables les unes que les autres et elle décida à l’âge de cinq ans de devenir un jour, dresseuse pour partir à la découverte de cette univers. Et si elle pouvait le faire avec sa sœur Becca, c’était encore mieux.

Meryl était allongée dans l’herbe à contempler les nuages. Elle trouvait toujours que tel ou tel nuage ressemblait à un animal … ou même plusieurs animaux en même temps. Elle a toujours été très créative. Toujours étant que la petite fille restait là, allongée. Elle laissait la brise souffler sur son visage avec plaisir jusque au moment où un bruit bizarre se fit entendre. Elle se releva d’un coup et observa les alentours essayant d’entendre à nouveau ce bruit. C’était un cri, elle en était sûre et certaine. Elle s’approcha des hautes herbes en face d’elle et entra dedans. Elle avança doucement, tentant de ne pas faire de bruit jusqu’à ce qu’elle tombe nez à nez avec un sablette. La petite fille fut aussi surprise que le Pokémon et tout deux se mirent à courir dans tout les sens jusqu’à se rentrer dedans. Le sablette sauvage regardait la jeune enfant se relever et resta là. Une fois que Meryl avait repris ses esprits, elle approchait sa main de la tête du petit Pokémon qui lui faisait face. Elle réussit à le caresser et un large sourire se dessina sur son visage.
« Comment tu t’appelles ? »
Le Pokémon la regardait, surpris mais heureux des caresses de la petite fille. Et il lui répondit avec bonheur.

Depuis ce jour, Meryl s’est mise à rêver d’un monde plein de sablette. Elle découvrit quelques autres Pokémons et se décida que c'était bien un dresseur qu'elle voulait devenir. Sa détermination était telle qu’elle tapissa les murs de sa chambre avec de nombreuses photos de Pokémon, et qu’elle demanda à ses parents de lui acheter différents costumes.

Nombreuses furent les années à attendre de pouvoir avoir son propre Pokémon. D’autant plus que ses parents n’ont jamais cru qu’elle allait vraiment le faire et surtout, ils ne le voulaient pas. Elle entra en perpétuel conflit avec eux à l’âge de douze ans. Ses parents ne comprenaient pas cet acharnement et ne voulaient probablement pas non plus voir leur fille partir sur des chemins sinueux dans un monde qu’eux-mêmes ne connaissent pas.
« Dépêche-toi. Éteins moi cette télé et viens manger. » braya Rebecca.
Meryl se levait du canapé, se dirigeait vers la télé et juste avant de l’éteindre un reportage spécial commença. Ce reportage parlait des Pokémons et naturellement la jeune fille partie se rasseoir sur le canapé. Sa sœur vint voir pourquoi sa fille ne venait toujours pas et constata qu’elle était encore sur le canapé à regarder la télé.
« Je t’ai dis d’éteindre cette télé ! Tu es sourdes ? Dépêche-toi maintenant. »
Elle s’approcha de la télé pour l’éteindre mais Meryl lui cria de ne pas éteindre. Sa mère s'approcha vers les deux sœurs et regarda sa benjamine avec stupeur.
« Il va falloir que tu arrêtes avec ces bêtises. Tu as douze ans maintenant, il faudrait que tu grandisses un peu. »

Elle éteignit la télévision et (suivit par Rebecca) commença à repartir du salon pour retourner dans la cuisine. Meryl lui emboîta le pas, folle de rage. Elle s’assit à table, non sans bruit, pris son assiette pour se servir et commença à manger. Ses parents la regardaient avec surprise et énervement.
« Arrêtes ça tout de suite. Je ne supporte pas ton comportement. Qu’est-ce qu’il se passe encore ? » demanda son père d'un ton irriter.
Elle releva la tête. Elle regardait son paternel d’un regard noir. Si elle avait pu le geler sur place elle l’aurait probablement fait. Elle termina sa bouchée et commença à parler.
« Ce qu’il se passe ? Mes parents ne croient pas en moi. Ils font tout pour détruire mon rêve et ne cesse de me prendre la tête pour des choses qu’ils ne comprennent même pas. Par contre, pour Becca les choses sont différentes ! Mademoiselle parfaite, elle, elle a le droit de faire coordinatrice plus tard ! Sinon je ne vois pas ce qu’il y a. Ça te va ? »

Le père de Meryl frappa ses poings contre la table et se leva. Tout en montrant les escaliers du doigt il ordonna à sa fille de monter dans sa chambre, sans manger. Elle termina son assiette en vitesse et partie de la pièce où l’ambiance était des plus électrique. Une fois dans sa chambre elle se jeta sur son lit et cria dans son coussin pour se calmer. Une fois plus calme elle se mit face au plafond et ferma les yeux.


→ Every time she closed her eyes. [...] When she was just a girl, she expected the world. But it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. Dreamed of paradise.

« D-. Pitoyable, Mademoiselle Spooner vous demandiez à votre sœur de vous aider ? Elle a toujours été excellente en maths. »
« Ouais, c’est ça, ma sœur, comme toujours… »
« Pardon, vous disiez ? »
« Non, rien, laissez tomber. »

Meryl froissa la copie rageusement et la fourra dans son sac, la froissant tellement que sa prof de math haussa un sourcil, se retenant de faire un commentaire. La cloche sonna à cet instant, ce qui soulagea la jeune fille, bien qu’elle aurait probablement quitté la pièce, que le cours soit fini ou pas. Elle glissa son sac en bandoulière sur son épaule et se dirigea vers la porte le plus vite possible sans se mettre à courir. Sa sœur, sa sœur, sa sœur, mais qu’est ce qu’ils avaient tous avec sa sœur ? Meryl quitta la salle de cours la première et décida qu’aller en salle de geographie ne servait à rien. Elle sècherait les deux heures des cours qu’il restait, après tout, c’était presque devenu une habitude. Elle n’était pas en état de réviser quoi que ce soit, là maintenant. Sa rage lui faisait monter les larmes aux yeux, elle n’avait qu’un besoin : s’en aller vite fait. En longeant le couloir menant vers le hall du lycée, elle entendit une voix l’appeler derrière elle. Elle connaissait bien cette voix, c’était Maggie, comme toujours. Une nouvelle arrivée en ville il y a quelques mois, dans la même classe qu'elle, qui collait cette dernière abominablement pour essayer de devenir son amie. Maggie n’avait vraisemblablement pas compris que c’était la dernière chose à faire si elle voulait attirée sa sympathie. Miss Spooner fit mine de ne pas l’entendre et continua à avancer le long des casiers, elle finit par atteindre les portes. Elle allait enfin pousser le lourd battant de bois, synonyme de liberté, quand une main s’abattit sur son épaule. Elle se tourna et vit le sourire hypocrite de Sophia, la meilleure apprentie dresseuse de l'école.

« J’ai entendu ce que Peterman t’a dit. Je sais que c’est dur pour toi, toujours être comparée à ta sœur… Tu veux en parler ? » demanda Sophia d’un air compatissant superficiel.
« Si jamais je ressens le besoin de me suicider, je viendrais te trouver, Sophia, t’en fais pas. » Répondit Meryl d’un ton glacial. Les deux filles se détestaient depuis toujours, ça devait probablement remonter à la maternelle, mais la grande blonde était la seule à faire l’effort de le cacher, vu son statut au sein du lycée, elle se sentait obligée d’être adorable même avec les gens qui ne savaient pas la saquer. D’ailleurs, si ça ne tenait qu’à Sophia, Meryl aurait été virée depuis belle lurette.
« Tu viens tout de même à l’entrainement tout à l’heure ? » Bon, sa sollicitude était intéressée, comme de bien entendu.
« Mais oui ! » Meryl ouvrit la porte brutalement et sortit, laissant Sophia plantée là, douchée par la réponse froide de la jeune femme, et descendit les quelques marches devant la porte d’entrée, avant de s’asseoir sur un banc placé là.

Sophia était vraiment la pire garce de tous les temps, ce n’était pas pour rien que Meryl l’avait toujours haïe. Elle entendait encore sa voix d’affection simulée, « toujours être comparée à ta sœur… » Mais pour qui elle se prenait celle-là ? Elle en avait marre qu’on lui parle de sa sœur, toujours sa sœur… Rebecca n’était même pas sa sœur, elles n’avaient pas le même sang, alors qu’ils arrêtent de les comparer ! Tout le monde le faisait, ces derniers temps : ses profs, ses parents et même ses amis, parfois. Elle avait tout fait, pendant toute son adolescence, pour se différencier de Rebecca. Elle savait qu’elle ne pourrait jamais l’égaler dans tous les domaines où son aînée était douée, aussi avait-elle décidé d’être tout le contraire. Sa sœur était douée pour les études, alors elle avait décidé de ne pas s’y intéresser. Sa sœur était sage, alors elle était devenue la rebelle de la famille. Sa sœur était romantique, alors elle était devenue celle qui sort avec tout le monde et ne s’attache à personne. Tout ça juste pour qu’on arrête de les comparer, qu’on arrête de dire à Meryl de prendre exemple sur sa sœur. Malheureusement, ça avait eu l’effet inverse. Ses parents n’aimaient pas ce qu’elle était devenue, de toute façon, Rebecca avait toujours été leur préférée. Elle était l’aînée, la première… Même s’ils ne l’avaient pas génétiquement conçue, Meryl savait qu’ils étaient plus attachés à elle qu’à leur benjamine. Voila pourquoi elle s’était réfugiée dans ce pour quoi elle était douée depuis toujours : les pokémon de type roche, sa passion depuis toujours, le sport, la fête, les bêtises… Tout ce qui pouvait lui permettre de ne pas avoir à affronter sa famille et de ne pas se conformer au moule que celle-ci lui avait préparé, un moule qui avait exactement la forme de sa sœur. Elle savait que, vu de l’extérieur, elle avait la famille parfaite. Des parents présents, qui avaient réussi, une sœur parfaite. La famille idéale de Charbourg et que Rebecca ait été adoptée ne changeait rien, car elle ressemblait bien plus aux parents que Meryl, qui avait pourtant le même code génétique qu’eux. Elle enfouit son visage dans ses mains et tâcha de calmer sa colère du mieux qu’elle pouvait. Elle fut interrompue dans ses pensées par une personne qui se glissa à ses côtés sur le banc et passa un bras sur ses épaules.
« Qu'est ce qui ne va pas, ma belle ? » C’était Cara, sa meilleure amie. Ils se connaissaient que depuis plus d'un an, ce qui était pourtant un record de longévité de relation pour Meryl. Ils s’entendaient bien, et puis il était comme elle.
« Mmm, laisse tomber. On sort, ce soir ? »
« Y a la fête chez Lee, t’as oublié ? »
« Ah, c’est vrai. Parfait. J’ai comme l’impression que ça va être inoubliable. »
Et pour cause, elle avait fermement l’intention de s’éclater afin d’oublier les déboires de cette journée pourrie. Pourtant, elle était loin d’imaginer les raisons pour lesquelles cette fête allait se graver à jamais dans sa mémoire…


→ Every time she closed her eyes. [...] When she was just a girl, she expected the world. But it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. Dreamed of paradise.

La fête battait son plein. Une fête typique. Une grande maison au milieu d'un champs, remplie d’ados de 16 à 19 ans, la moitié d’entre eux en train de s’embrasser dans l’immense piscine, l’autre moitié transpirant sur la piste de danse ou se saoulant en dansant collé-serré et d'autres encore à faire des combats pokémon et à comparer leurs équipes. Les enceintes déversaient une musique hypnotique et Meryl avait quitté la piste de danse quelques instants pour aller chercher de quoi se désaltérer. Elle était arrivée il y avait une heure, bien qu’il se fasse déjà tard, elle détestait arriver dans des soirées quand celles-ci décollaient à peine, elle préférait débarquer quand l’ambiance était à son comble. Elle n’avait pas encore fait son show, attendant de s’échauffer. Bien qu’elle n’ait que 19 ans, tout le monde louait ses capacités de danseuse, elle était connue dans le coin pour savoir mettre l’ambiance sur un dancefloor. C’était son truc depuis toute petite, elle dansait mieux qu’elle ne marchait. Elle avait pris quantité de cours, de toutes les danses possibles et inimaginables, mais les chorégraphies, les lumières, les costumes, tout cela n’était pas ce qu’elle préférait. Sa vraie passion, c’était les pokémon, grandir en même temps que ses compagnons de route, découvrir de nouveaux lieux et gagner des matchs. Elle était occupée à se servir un verre quand Cara l’avait rejointe derrière le comptoir. Elle se retourna vers elle avec une petite moue déçue.

« J'aimerai rester toute la soirée, mais je ne vais pas pouvoir rester longtemps. »

Elle avait 19 ans et les règles imposées par les parents Spooner étaient assez strictes pour Meryl. Beaucoup moins pour Rebecca qui en avait 21, mais c’était inutile, car règles ou pas règles, Rebeca aurait toujours eu un comportement raisonnable, ne serait pas rentrée au petit matin, n’aurait pas découché, n’aurait pas été inconsciente… Ce que, bien évidemment, Meryl avait déjà fait. Rebecca était en quelque sorte chargée de surveiller sa petite sœur et la ramenait donc toujours après les fêtes car celle-ci n’avait pas de voiture. Ayant déjà fait quelques bêtises en s’étant rendue à des soirées seule, elle était désormais obligée de n’aller qu’aux fêtes auxquelles sa sœur allait. Du moment que ses parents ne la punissaient pas, elle se conformait plus ou moins aux règles imposées. Pour le moment, elle se contentait juste de profiter la soirée.

« Okay, mais on se voit demain ? » Continua l jeune fille.
« Écoute, profitons déjà de la soirée, non ? » Lança-t-elle.

C’est là que la soirée allait vraiment commencer. Meryl s’était frayée naturellement un passage jusqu’au centre du salon, grand espace dégagé servant de piste de danse. Ils étaient tous serrés, les corps bougeant à l’unisson, elle se sentait vraiment dans son élément. Elle commençait vraiment à prendre son pied quand elle se sentit attrapée par le bras et tirée vers l’extérieur du cercle. Elle tourna la tête : Rebecca.

« Meryl. On s'en va ! »
« QUOI ?! Mais la soirée ne fait que commencer ! »
« Je ne te demande pas ton avis. On s'en va ! » Répondit Rebecca de ce ton autoritaire qu’elle prenait quand elle ne voulait pas de discussion.
Meryl se débattit quelques secondes, alors que Cara lui faisait des signes, demandant ce qui se passait au-dessus des personnes étant désormais entre eux deux. Elle allait se dégager mais sa sœur la tenait de plus en plus fermement, enfonçant ses ongles dans la peau nue des bras de cette dernière. Mais qu’est ce qu’il lui prenait ? Elle n’avait vraiment pas l’air dans son assiette.
« Becka ! Calme toi ! Et Lâche moi ! »
« Pas tant qu'on sera dans la voiture ! »
« Je n'ai pas envie de rentrer ! »
« Oh que si ! Et tout de suite. » Meryl arrêta de se débattre, se doutant bien que quelque chose ne tournait pas rond chez sa sœur, mais elle trouvait injuste qu’elle l’empêche de s’amuser parce que Mademoiselle la Prude avait des soucis. Rebecca réussit à emmener la benjamine jusqu’à la voiture et Meryl, opposant toujours une résistance, croisa les bras sur sa poitrine, un air hautain sur le visage. Non, elle ne voulait pas monter. Elle ne se retint pas de le dire à sa sœur qui utilisa une fois de plus son air autoritaire.

« Oh, si jeune fille. Sinon, tu te démerderas pour les prochaines fois à venir, en plus de trouver une excuse à nos parents. » Non mais quelle mégère ! Elle détestait quand sa grande sœur se prenait pour la voie de la raison. Elle ne répondit pas à cette provocation mais n’en pensa pas moins. Sur ce point, Rebecca avait l’avantage. Elle savait très bien que si elle décidait de rester et que sa sœur rentrait chez elle seule, ça allait être sa fête, elle serait probablement punie et se ramasserait encore un savon accompagné d’un « si seulement tu étais comme ta sœur ! » Elle ne pourrait plus supporter cette phrase une fois de plus, aussi décida-t-elle finalement de se glisser sur le siège passager, prenant bien soin de claquer la portière de toutes ses forces. Alors que la conductrice démarra sur les chapeaux de roues, Meryl décida de lâcher ce qu’elle avait sur le cœur. Elle voyait bien que sa sœur n’allait pas bien et cela l’inquiétait assez, bien qu’elle ait trop de fierté pour le dire.

« Becka, j'en ai marre de tes sauts d'humeurs ! Je pourrais au moins savoir ce qui se passe ? »
« Ce ne sont pas tes oignons ! »
« Ah bon ? Tu me fais quitter la fête et ce n'est pas mes affaires ? Tu me prends pour une idiote ? »
« J'en ai marre de ton attitude insolente ! Envers moi, nos parents et l'école. Grandis un peu ! » Là, elle avait touché un point très sensible chez Meryl. Surtout en cette journée, durant laquelle elle en voulait encore plus à la perfection de sa sœur que d’habitude. Ce coup bas lui fit tellement mal qu’elle répliqua d’une phrase encore plus vicieuse.

« Envers nos parents ? Envers MES parents ! » Cria Meryl en se tournant vers sa sœur. Dès que cette phrase quitta ses lèvres, elle la regretta, mais plutôt mourir que la retirer. Elle vit sa sœur réagir, les larmes lui montèrent aux yeux et Meryl fut prise d’une envie violente de prendre sa sœur dans ses bras, mais elle préféra détourner le regard et garder sa fierté. Rebecca l’avait mérité. Quelques secondes passèrent dans cette tension presque insoutenable lorsque…
« REBECCA ! ATTENTION ! »

Trop tard. Le scooter les percuta de plein fouet et envoya voler la voiture sur le bas côté. la plus jeune fut perdue dans un défilé de cris, de chocs, de douleurs. Elle ne distinguait plus ce qui se passait et l’espace de quelques instants, elle fut persuadée que son cri serait ses derniers mots. Pourtant, il y eut une accalmie. La voiture finit par se stabiliser, mais la tête en bas. Meryl était en larmes, n’arrivant plus à aligner deux pensées cohérentes. Elle ne pouvait pas bouger, était complètement tordue, mais elle voyait encore sa sœur. Sa sœur qui saignait au niveau du visage. Sa sœur, qui fermait les yeux petit à petit, comme perdant toutes ses forces.

« Rebecca, ça va ? Becka ! Réponds moi ! REBECCA, NON, T’ENDORS PAS ! »

Elle cria pendant ce qui lui sembla être des heures, se tortillant pour atteindre la jeune femme sans y arriver, elle était coincée. Elle avait d’énormes douleurs partout, ne sentant plus sa jambe mais elle s’en fichait, tout ce qu’elle voulait c’était voir son aîné rouvrir les yeux. Non, ce n’était pas possible… Elle continua à hurler pendant une éternité, des voix autour de la voiture tentèrent de la prévenir que les secours arrivaient mais elle n’entendait rien, elle ne voyait plus rien, noyée dans ses larmes. Elle sentit, au bout d’un moment, une force l’attirer hors de la carcasse de la voiture : quelqu’un la tirait en arrière. Ses sanglots se firent de plus en plus fort, tandis qu’elle continuait de hurler.

« Sauvez ma sœur ! Pas moi, ma sœur ! Sauvez la, je vous en prie, je vous en supplie, sauvez ma sœur… » Tout ce dont elle se rappela fut être couchée et attachée sur une civière, toujours hurlant après Becka, avant de sombrer dans l’inconscience, ayant perdu trop de sang et étant trop choquée.


→ Every time she closed her eyes. [...] When she was just a girl, she expected the world. But it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. Dreamed of paradise.

Meryl papillonna des yeux, mais dès qu’elle ouvrit les paupières, elle fut tellement éblouie par la lumière artificielle qu’elle fut obligée de les refermer immédiatement. Après plusieurs essais, elle se rendit compte qu’on lui dirigeait un faisceau lumineux droit dans les yeux et quand celui-ci se dégagea de ses iris, elle comprit. Tournant la tête à gauche et à droite, elle comprit où elle se trouvait. Une chambre d’hôpital, cela ne faisait pas de doutes. Tous les souvenirs de l’accident ne lui revinrent pas dans une vague, déferlant sur son esprit, ce serait faux de dire ça, car elle s’était réveillée avec chaque seconde de la soirée de la veille encore fraiche dans ses pensées. Comme si elle n’avait fait que se repasser cette scène en boucle durant ses rêves. Elle ne fut donc pas surprise de se trouver dans un hôpital. Une infirmière au sourire concerné était penchée vers elle, visiblement soulagée qu’elle se réveille.

« Comment ça va ? Pas trop vaseuse ? »
« Ça va. Comment va ma sœur ? » Demanda-t-elle en tentant de se redresser. Une douleur aigüe lui perça la jambe et elle retomba dans ses oreillers, étouffant un gémissement. L’infirmière se précipita à ses côtés et l’aida à se mettre en position assise sans avoir trop mal.
« Et oui, tu t’es cassée la jambe. Tu es plâtrée mais tu vas te remettre vite, ne t’en fais pas, ça aurait pu être bien pire. »
Meryl baissa les yeux et vit, en effet, qu’un plâtre recouvrait son mollet droit jusqu’au genou. Et merde ! Pourtant, un point avait attiré son attention particulièrement.
« Mes parents sont là ? »
« Bien sûr, ils ont passé la nuit ici. Ils sont dans le hall, remplissant des formulaires. Tu veux que je les prévienne que tu es réveillée ? »
« Non ! Enfin, pas maintenant. » Se reprit-elle juste à temps. Elle n’avait pas envie de devoir expliquer tout ce qui s’était passé, elle ne voulait pas avoir à rendre des comptes dès maintenant. « Je dois parler à ma sœur, d’abord. Où est-elle ? Rebecca Spooner. Elle était avec moi dans la voiture. »
« C'est-à-dire que… Elle ne s’est pas encore réveillée. »
Meryl sentit le malaise dans cette phrase et eut une vague d’angoisse.
« C’est grave ? » demanda-t-elle en déglutissant, une grosse boule montant dans sa gorge.
« Ne te fais pas de mauvais sang, elle va s’en sortir… mais pour le moment, elle est dans le coma. »
« DANS LE COMA ? » Cria-t-elle, prise de panique. « Il faut que je la voie, où est-elle ? » S’écria Meryl en se débattant avec les draps, tentant de sortir du lit.
« Dis donc là, pas d’emportement, tu dois te reposer. On ne va nulle part, mademoiselle ! »
« Si vous m’empêchez de voir ma sœur, je fais une crise et ameute tout l’hôpital. » L’infirmière soupira en masquant à peine un sourire, elle aimait bien cette petite patiente têtue. Elle aurait dû être traumatisée par l’accident et être parano mais visiblement, cela n’avait pas causé de séquelles irréversibles.

Comme toujours, le chantage marcha et l’infirmière alla chercher une chaise roulante sur laquelle elle aida la jeune femme à s’installer avant de la pousser jusqu’à la chambre de Rebecca, deux étages au-dessus. Chambre 378. Meryl attendit d’être seule dans la chambre pour faire rouler sa chaise jusqu’au au lit de sa sœur. La voir là, si pâle, des tuyaux dans le nez, dans le bras, par sa faute en plus, c’en fut trop. Elle éclata en sanglots et prit la main de sa sœur dans la sienne.

« Oh Becka… Je suis tellement désolée. Je ne pensais rien de ce que je t’ai dit, tu le sais, non ? Tu ne t’en iras pas, tu n’oserais pas, si ? » Commença-t-elle difficilement, ravalant ses sanglots, la voix chevrotante. « Il y a tellement de choses que tu dois encore m’apprendre. Comme à faire un brownie au caramel, ou siffler avec deux doigts en bouche. Les maths, aussi, Peterman m’a dit que tu ferais mieux de m’aider, parce que je suis nulle. Ou jouer Hallelujah à la guitare. T’avais promis que tu m’apprendrais. Tu DOIS tenir tes promesses ! En échange, je te promets de devenir une meilleure petite sœur. J’arrêterais d’être une emmerdeuse, c’est juré. J’irai en cours et j'aurai de bonne note. Pour être comme toi. On a tellement de projets qu’on a pas encore réalisé, Rebecca, tu peux pas les abandonner, tu m’entends ? Tu ne peux pas ! Tu iras à Kanto, tu deviendras une personne importante, tu deviendras une coordinatrice super connue et quand j’irai quelque part tout le monde m'admira parce qu'ils seront que je suis ta sœur. Tu ne peux pas m'abandonner. Tu n’as pas le droit de me laisser tomber, je ne te laisserai pas faire. J’ai besoin de toi… Comme quand j’avais 10 ans et que tu m’avais accompagnée pour aller acheter mon premier poster pokémon avec l’argent que maman m’avait donné. Je n’avais aucune idée de ce que je voulais, je voulais juste un pokémon et on avait passé des heures dans le magasin à regarder tous les posters qu’ils vendaient. Je l’ai toujours ce poster, celui d'Onyx. Tu te souviens ? Il me reste encore tellement de poster à acheter… Tu ne peux pas me laisser le faire seule... » Dans un dernier sanglot, la benjamine posa sa tête sur le ventre de son aîné, priant le ciel pour que celle-ci se réveille le plus vite possible.


→ Every time she closed her eyes. [...] When she was just a girl, she expected the world. But it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. Dreamed of paradise.

Deux ans s’écoula. Deux ans durant lequel Meryl changea radicalement. Le pied plâtré, elle retourna à l'école avec des béquilles, tout le monde lui tournait autour, voulant avoir la vraie version de l’accident des Spooner. Tout le monde en avait entendu parler et comme des charognards, ils voulaient avoir tous les détails de l’histoire. Ce fut durant ce laps de temps que Meryl se rendit compte de qui étaient ses vrais amis et elle découvrit avec un pincement au cœur qu’ils étaient très rares. Elle abandonna ses mauvaises habitudes, elle coupa tout contact avec Cara. Elle réussit à avoir son diplôme et avec le soutient de ses parents, quita Charbourg pour partir à la conquêtes du monde. C'est devant le lit de sa sœur qu'elle passa ses dernières heures en ville. Finalement, elle déposa un baiser sur le front de celle-ci et lui dit au revoir pour une durée indéterminée, car la jeune femme allait devoir partir pour réaliser son rêve.


(note de la joueuse: désolé pour les fautes d'ortho', j'ai fait de mon mieux...)


Starter


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▬ Race :
▬ Sexe :
▬ Le dresseur l'apprécie-t-il :
▬ Particularités (s'il en a) :
Écrire ici ; quelques adjectifs définissant le caractère de votre starter


Pseudonyme


▬ Prénom / Surnom : Fanny
▬ Sexe : Féminin
▬ Âge : 21 ans (la plus vieille ici peut-être >.<)
▬ Personnage sur l'avatar : Asa Shigure
▬ Un commentaire? Moi qui cherchait des forums pokémon je suis gâtée !!
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MessageSujet: Re: Meryl Spooner   Meryl Spooner Empty03.11.11 17:42

(AAAH COLDPLAY PARADISE AAAH WHEN SHE WAS JUST A GIRL ♥)
Bienvenue en espérant que tu te plaises bien sur le forum :3 J'ai lu ta fiche et franchement, je suis sous le charme de Meryl, j'ai l'impression qu'elle a gardé un petit côté que les enfants ont alors qu'elle a 21 ans. Adorable ;w; Et franchement superbe histoire, tu as un style qui se lit très facilement °°
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MessageSujet: Re: Meryl Spooner   Meryl Spooner Empty03.11.11 18:41

Ah~ Je suis contente que ce soit l'impression que tu as eue en lisant ma fiche, car c'est effectivement ce côté là que je voulais faire ressentir :kao_cheering:
Merci beaucoup en tout cas !

EDIT: Oui coldplay *______*
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MessageSujet: Re: Meryl Spooner   Meryl Spooner Empty04.11.11 14:38

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Lixy
Spoink
Canarticho

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Meryl Spooner 439
Feuillajou
Nenupiot
Mime Jr.
Alors voilà ta sélection, le Nenupiot correspondra parfaitement à ton caractère joyeux quand il sera sous sa forme finale, Lixy c'est le dynamisme, Mime Jr. l'extravertie et le fun , Spoink aussi c'est le dynamisme, Canarticho peut correspondre à tes défauts et a pour moi une petite touche de fun (le poireau sans doute) et Feuillajou c'est la même chose que Canarticho et Lixy. Bonne chance pour le choix et désolé du retard.
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MessageSujet: Re: Meryl Spooner   Meryl Spooner Empty16.11.11 13:37

Du nouveau ..?
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MessageSujet: Re: Meryl Spooner   Meryl Spooner Empty24.11.11 14:16

Citation :
Vous avez jusqu'à 20 jours pour finir votre présentation. Une fois ce délai passé, elle ira à la corbeille.

Plus aucune connexion de ce membre depuis le 3 Novembre... Je déplace à la corbeille :)
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MessageSujet: Re: Meryl Spooner   Meryl Spooner Empty

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