D'un point de vue mental, on peut dire que je suis pas très complexe, ou un tout cas très peu. Je suis beaucoup plus discrète que mon grand frère. Je n'aime pas parler, je n'aime également pas beaucoup lorsqu'il y a pleins de monde autour de moi. Si mon frangin est beaucoup plus extraverti, on peut dire qu'on forme un très bon duo. L'un est énergique, tandis que moi je suis plus distante avec les autres. Je ne me fais donc pas beaucoup d'amis, préférant que l'on vienne à moi plutôt que le contraire. Même si j'ai très envie de parler à quelqu'un, ma timidité m'empêche de le faire. Aussi, je peut rester de longues heures à regarder d'autres personne sans jamais rien faire pour aller briser la glace. Je ne sais pas comment mon frère fait, c'est quelque chose qui m'est impossible. Néanmoins, si on me parlait en premier, je crois que je saurait aligner quelques mots ensemble afin de faire une phrase.

Cela est dû en partie à cause du divorce de mes parents. En effet, j'ai tellement été affectée par leur séparation que je ne peux plus vraiment faire confiance à quelqu'un. Mes deux parents avaient répétés maintes et maintes fois qu'ils s'aimaient, qu'ils tenaient l'un à l'autre, que je n'avait aucunement imaginé qu'un jours, ils seraient divorcé. Heureusement, dès qu'on a réussit à créer le contact, on peut voir ce que je cache. Je suis comme un livre, si vous voulez. Il faut m'ouvrir afin que je puisse m'épanouir et montrer qu'elle personne je suis. Et je vous promet, je ne suis pas quelqu'un qu'on regretterait de connaître, loin de là. Je parle un peu plus. C'est déjà un bon début. Par contre, dès que je sens que je peux l'être, je deviens un moulin à parole. Je lançe des vannes, taquine les gens au moyen de vannes.

Je peux également tout donner pour aider les gens que je connais qui sont dans la mouise. Cela est une façon de me savoir utile pour certaines personnes. Je n'ai pas vraiment confiance en moi non plus. Et quand je fais quelque chose qui me semblait une bonne chose, je commence à me poser des questions. Sur moi... Mes capacités... Ce que je pourrait faire pour que cela s'arrange. Je pourrais fuir les responsabilités de mes actes, néanmoins je ne suis pas une lâche. Je suis courageuse et assume pleinement mes erreurs. Et je ne fuis pas les conflits que cela pourrait engendrer. Même si je doute de moi, il est hors de question que j'abandonne. Je sais que même si je fais des erreurs, que je suis triste, il y aura toujours une issue. Le truc c'est de ne jamais perdre espoir. C'est ça qui me fait relever à chaque coup dur qui pourrait me tomber dessus.

Mon passé... Je suis née dans la région d'Unys. En ces temps là, mes parents étaient toujours ensembles. Je suis la cadette de la famille. En effet, avant moi, mes géniteurs avaient mit au monde un garçon, que je n'ai pas connu. Quelques années après, suite à une dispute violente, mes parents décidèrent de se séparer. Papa prit ce frère avec lui, tandis que je restais avec maman. Celle-ci état très affectée par son divorce. Elle m'avait répété pleins de fois qu'ils resteraient toujours ensemble. C'était se bercer d'illusions, en tout cas. Mère avait dis tellement de fois que l'amour était une belle chose, que cela durerait jusqu'à la fin des temps. Quel mensonge. Elle avait gardé une seule photo; celle de notre famille. Papa,maman, Moi et... Lui.

On avait un duo de Posipi et de Négapi. J'adorais jouer avec eux lorsque j'étais petite. Pourtant, ils furent relâchés quand papa parti. Privée de mon frère ainsi que de mes amis, je commençais à me poser des questions. Parce que c'était après la naissance que tout commença à aller de mal en pi. J'avais tellement aimé ce duo de lapin que je me suis créer une énorme peluche Posipi que j'amenais à l'école. On se moquait même souvent de moi. Ils ne comprenaient pas la raison qui me poussais à aimer les pokémon plus que les humains. C'est juste que je les comprenais mieux, c'était tout. Pour me montrer que j'étais différente d'une enfant normale, un garçon me prit ma peluche et la déchira. C'était la pire chose que l'on me fit. Je ne comprend toujours pas ce qui était passé par la tête de ce gosse. J'avais alors décidé de me venger. Lorsque j'aurais mon premier pokémon, j'irais lui en faire voir de toutes les couleurs.

En plus, c'est que les enfants avec qui j'avais liés des liens d'amitiés s'y mettait aussi. Je rentrais en pleurs à chaque fins de cours. Ma mère me promis alors que j'aurais un vrai pokémon, lorsque je serais assez grande. Malheureusement, il fallait attendre mes 16 ans. Et lorsque je les eu atteint, Maman - qui s'était remise de sa rupture pour se consacrer à moi - elle m'amena au laboratoire du Professeur Kétéleeria. Je pouvais enfin choisir mon pokémon...... J'aurais pu prendre un Posipi ou un Negapi... Mais non. C'était du passé. Maintenant, j'allais prendre celui avec qui je voudrais passer le restant de mon aventure !

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