Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé]
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Hazel Y. Nicholae
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Sujet: Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé] 29.11.13 13:38
Hazel Yaël Nicholae
Votre personnage
▬ Surnoms : Des tonnes ▬ Sexe : Masculin ▬ Âge : 20 ans ▬ Date de naissance : 13 Février 1993 ▬ Orientation sexuelle : Bisexuel ▬ Profession : Coordinateur ▬ Région : Kanto ▬ Genre de Pokémon souhaité : Un pokemon qui lui correspond dans sa manière d'être. Charmeur et sans scrupule, manipulateur cherchant à combler le non sens d'une vide d'abandon par la possession. Attiré par ce que les autres peuvent posséder, par la beauté, ce qui brille, un pokemon arrogant conscient qu'en l'apparence réside toute sa force dans cette obsession de la possession.
Caractère
Et si tout n'était que profit ? Tumulte d'une interrogation sans fin : Être ou avoir ? Être et avoir ? Et si tout n'était que marchandise, appât du gain ? Règle millénaire et universelle, tout s'achète et tout se vend.
Se vendre soi, vendre les autres sans honte. Avoir. Posséder. Posséder pour le simple fait d'avoir, pour combler ce manque qui nous bousille de l'intérieur, ce vide obscène, ambiance malsaine, ne plus rien avoir, vide et paumé. User et abuser, utiliser ce que l'on a, les rares choses que l'on a pour obtenir l'objet d'une lubie déplacée et obsédante, se damner pour posséder.
Être, le vide intersidéral, questionnement sans fin, je suis qui ? Qui ou quoi ? La conscience d'une règle universelle, règle millénaire, que la beauté peut avoir, elle peut pouvoir. Qu'elle se vend et s'achète, qu'on se vend nous-même, qu'on s'achète pour quelques pièces. Pour qui ? Pour quoi ?
Tout ce qui brille. L’appât du gain et du beau, du brillant comme de l'objet pouvant combler ce manque au fond de nous. Désirs vains et futiles, et quand le désir se voit combler, quand l'on a obtenue ce que l'on voulait, il n'y a plus qu'à nouveau chercher, reporter l'attention sur un nouvel objet. Et pour ça rien ne peut nous arrêter dans cette confusion constante entre l'être et l'avoir, tromper, manipuler jusqu'à en être bousillé, bousillé pour renaître de ses cendres, pour chercher le nouvel objet que l'on croit pouvoir nous combler.
Bousiller et continuer, toujours l'obsession de combler un vide qu'on ne peut identifier. Cycle infernal et sans fin, avoir et pouvoir, on se vend, baiser pour quelques pièces, baiser pour dépouiller, la stupide penser que c'est en possédant, qu'en acquérant le brillant que l'on trouvera le sens d'une vie pleine de non sens.
Le non sens de la perte. Conscience, la conscience de la beauté, seule valeur suprême, la beauté dans l'apparente faiblesse, la beauté dans la force, la beauté dans le brillant, la beauté dans un mouvement. Un beau visage est un avantage préférable à toutes les lettres de recommandation parait-il. Alors on s'en saisie, on s'en agrippe, on la dépouille et on la décharne pour avoir. Être et avoir, suis-je ce que je donne ? Ce que je vends ? Vulgaire pute que tout achète avant de tout exploser à coup de machette. Et toi tu es qui ? L'espoir d'une vie ? L'espoir est mort, l'amour n'existe pas, la confiance n'est qu'un doux mot sans valeur, intangible, non réel, non réel et factuel.
Une seule chose qui compte, une seule et unique chose dépassant la substitution d'un être entier à la possession. Ce lien étrange qui vous unis, ce lien qui vous renforce dans la solitude de chercher ce qui brille, volonté de reconnaissance ? Dérangeante arrogance d'un être bousillé. S'appartenir mutuellement, les règles de l'échange transcendés avec ces êtres aux pouvoirs incroyables, loin de la piteuse humanité, les règles de l'échange entre ces alliés, seule chose belle dans une vie pathétique et paumée. Divertir pendant que l'autre subtilise, amadouer pour mieux poignarder, échange mutuelle bien au delà de cette illusion d'associé, car au fond vous êtes les même, unis à jamais dans un cercle infernal d'abandon et de substitution.
Et si tout pouvait changer ? Chose que tu n'as jamais envisagé, les choses sont tel qu'elles ont toujours été, survivre. Règle primordiale dans un monde perdu, saccagé et corrompu, et pour survivre on devient la corruption, et par la beauté on pense transcender sa condition, illusions d'un garçon paumé, illusions d'un pokemon bafoué. Illusions d'un duo décharné... Un duo ayant oublié des mots pourtant si puissant "et si jamais ?".
Il vaut mieux se bafouer soi-même plutôt que de laisser les autres nous salir, s'illusionner par le fait que c'est notre choix, qu'on ne peut nous voler ce que l'on vends déjà. Triste constat.
Histoire
2013 - Celadopole
Un souffle, un mouvement, le verre vient s'élever dans les airs, les lèvres rosées le pince avec une délectation teintée de péché, inspire, expire, engloutir. Un léger sourire, les yeux d'émeraude fixent l'objet de leurs désir, l'attention mortifère d'une peste issue de l'enfer. Un sourire, un regard, commande et remballe, un nouveau verre, prélude d'une scène aux accents de malheur.
Le "dring" retentissant, jackpot pour la vieille aux airs de chenipotte. Observes et apprends, ressens et attends, elle se lève, et le regard la toise d'une lueur malsaine alors que les jetons débordent du gobelet dépouillé de toute fierté entre ses mains charnues et ridées. Inspire pour ne pas vomir, se lève et entre en mouvement, jeune homme déambulant, félin gourmand et charmant. Il est temps. Une poussée maîtrisée, l'illusion de l'empoté, chute pour mieux la rattraper, jeune et serviable à souhait. Touché. Un sourire, excuses confuses teintées de politesse dans la funeste allégresse, elle sourit, il est charmant, il jubile d'avoir attrapé la souris ridée.
Une invitation, prend place au bar en bonne compagnie, et l'alcool coule, suinte pour la mener dans son étreinte, enorgueillie d'une beauté disparue depuis des siècles, elle se sent jeune et désirable dans ce regard d'un jeune homme affable. Et le piège se referme sur la première scène, acte un, première avant la suite d'une danse macabre.
Et le temps passe, les heures défilent et l'alcool coule dans le casino. La fièvre qui envahie les corps, il l'a raccompagne, elle titube, stupide vieille à la peau couleur meringue. Un désir à satisfaire, tout l'art d'un savoir faire. La porte claque derrière la silhouette masculine, la plaque sur le lit dans un souffle éphémère, la langue parcourt les rides avec un relan de gerbe, l'habitude malsaine reprend ses droits obscènes malgré ce dégout qui suinte dans un cœur givré. Un simple cout, il annonce le prix, embrumée elle ne peut résister, cède à l'attrait d'un corps jeune et musclé. Pute qui obtient ce qu'il voulait. La scène s'enchaîne et se déroule, plumée et dépouillée, esprit alcoolisé et abusé par la beauté, gagné alors qu'aux premières lueurs de l'aube la porte se referme derrière les pas feutrés.
2008 - Azuria
Un sourire qui illumine, déambule et avance dans les rues, un échange entre deux mains, la vie ouvre ses portes aux adolescents chantants, insouciance et indifférence alors qu'au loin la cloche résonne. L'ivresse de la jeunesse, loin des ados en détresse, loin d'une perdition funeste. Glorieuse jeunesse, stupide et juvénile, un bonheur sans guenilles, simple et ravis.
Les éclats de rire viennent briser la tranquillité de la ville que les champions de l'eau gardent depuis des années. Et eux ils continuent, s'éloignent des bâtiments pour profiter de l'été chantant, voir leurs reflets dans l'eau s'écoulant sur le pont des amants, la fraicheur et la candeur, alors que le temps poursuit sa route, qu'à plusieurs kilomètres de là, leurs sièges vides écoutent pour eux la géologie de Kanto, ils s'en moquent, jeunes ils ont le temps, ils ont le temps avant que l'âge adulte ne les appelle de sa froideur et de son horreur.
Ils ont le temps, le temps alors qu'ils rient et courent dans l'herbe verte des pluies qui l'ont bercée, ils ont le temps alors que le jeu les entraîne encore plus haut, encore plus loin dans un bonheur qui ne semble pouvoir toucher à sa fin. Allongés dans l'herbe ils observent le soleil couchant, première romance pour les diablotins. Et le temps vient de s'abandonner, le temps vient de se laisser pour rentrer et reprendre le contact de la réalité, parents attendant leurs enfants et s'impatientants alors que leur absence n'a pas été engloutie par le néant.
Des éclats de voix, mises en garde et menaces d'usages pour les garnements, car tel est le rôle de ceux qui veulent que leur enfant réussissent dans ce monde, car tel est le rôle de ceux qui ont décidé que de leurs vies dépendraient désormais d'autres par le fait de les avoir éjecter de leur utérus gonflé. L'amour derrière les cris, et la scène se clos avec un sourire, car malgré l'apparence ils s'aiment et sont unis, la vie simple et paisible d'une famille qui croyait que pour encore longtemps tout pouvait lui sourire. Les lumières s'éteignent sur la ville solennel, nul bruit pour briser la quiétude de ceux que le sommeil vient happer, nul bruit pour briser cette journée des plus banales si il en est, une vie simple et une jeunesse des plus ordinaires.
2010 - Carmin sur Mer
L'euphorie grandissante malgré le temps grimaçant, la destination qu'ils attendaient depuis déjà plusieurs mois, voyage qui s'était réalisé malgré le doute et l'inquiétude face aux intempéries qui balayaient la région depuis un mois maintenant. Mais rien n'avait put les dissuader de tout faire pour que ce voyage ait lieu, le clou de cette dernière année avant que chacun ne doive s'en aller pour vivre une nouvelle vie qu'ils attendaient dans leur volonté grandissante d'une indépendance à gagner.
Rien n'avait put troubler leur détermination à ce que voyage ait lieu malgré ce temps épouvantable, qui finirait bien par passer. Ils avaient gagné et c'est devant l'arène de Carmin Sur Mer que le bus laisse s'échapper les derniers élèves du lycée d'Azuria. Et ce n'était certainement pas la pluie battante et la mer hurlante qui pourrirait cette journée, une promesse qu'ils s'étaient faite sur le trajet.
Quartier libre pour débuter, quartier libre avant le point de rendez-vous ici-même, devant l'arène électrifiée du champion de Carmin sur Mer, l'arène de leur élément opposé, l’électricité pour massacrer l'eau qu'ils avaient toujours connu comme l'élément le plus puissant qu'un pokemon pouvait maîtriser.
Et le temps file alors que le ciel ne cesse de s'assombrir, les magasins et les échoppes leur ouvrent leur porte en ce milieu de mâtiné crépitant sous les grondements de tonnerre, comme si Elektor en personne était habité d'une rage à exprimer. Ils s'en moquaient.
Ils déambulent, courent pour échapper aux pluies torrentielles, se séparent d'avantage car personne ne veut voir la même chose durant ce temps libre qui leur était accordé. Et c'est finalement seul que le brun s'enfonce dans le dédale de ruelle pour trouver la maison des Pokes fans que la ville abritait, architecture bétonnée et grise, rien pour vraiment enchanté cet enfant de la ville fleurie et élégante qu'était l'Azuria où il avait grandit.
Puis le choc, la vibration soudaine alors qu'il manque de perde l'équilibre, que le terre tremble dans un écho comme sortie de la gorge d'un dragon agonisant. Tremble encore alors que le sol semble se fissurer sous ses pieds, se relève pour courir alors que les choses ne cessent d'empirer, que les secousses se multiplient et se succèdent, plus violentes et intenses à chaque seconde s'écoulant, une porte claquant d'un bâtiment, il s'engouffre par pure réflexe dans le hall du bar où tout à chacun s'est recroquevillé sous les tables qui jonchaient le sol carrelé, il ne réfléchit pas et fait de même alors que les secousses ne cessent de gagner en intensité, que les première fissures viennent meurtrir les murs bétonnés, que les premiers gravats s'effondre dans la pièce confinée d'esprits terrifiés. Prémices de l'enfer avant que la dernière secousse ne fasse trembler la ville entière, que les murs commencent à se briser, que le plafond ne s'écroule dans un horrible craquement comme issue des enfers, comme un rugissement de Cerbère. La dernière secousse avant le néant, le noir l'emportant.
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Un faible écho, une faible lumière dansant au rythme des bruits lointains des sirènes, le corps endoloris dans son intégralité, engloutit sous la marée de pierres et de débris, une simple main ayant échappé à l'avalanche les ayant engloutit, main matte que l'eau de la mer qui avait débordé vient lécher, le corps meurtrie et humide par le contact salé, la gorge embrouillé et la vision flouté alors que nulle vie ne semble se dessiner à l'horizon, le bruit des sirènes retentit, il retentit, présent et pourtant lointain alors que seul l'obscurité règne dans le bar dévasté.
Le sentiment d'abandon et de perdition, le sentiment d'une fin approchant alors que l'on ne peut bouger, que l'on ne peut se dégager de ce poids venue nous clouer au sol tel une planche de parquet. Puis la lueur, la lueur d'espoir alors que l'on croit que tout est finit, une main caressant la votre, une main caressant la votre avant que l'on sente le poids sur son dos diminuer, que quelqu'un évacue les décombres pour vous libérer. L'espoir avant l'horreur, avant que vos yeux ne puissent réellement bien discerner celui qui était en train de vous sauver. Visage immonde et ignoble, comme mutilé, regard de dément dans ses yeux givrés. Un dernier gravât retiré pour vous dégager, incapable de bouger alors que ce n'est pas votre sauveur qui s'est manifesté, que l'enfer vient de vous ouvrir ses portes avec un sourire carnassier.
La sensation du pantalon glissant le long de vos jambes, du poids venant vous terrasser alors que vous vous croyez enfin libéré malgré la douleur vous parcourant. L'enfer alors que vous voulez crier, qu'entre le corps étranger avec la violence d'un coup d'épée pour vous lacérer, la douleur pour vous vriller alors qu'à nouveau le néant vient vous emporter, que l'on croit la mort arrivé, une bonne fois pour toute pour vous délivrer.
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Le premier moment d'une descente aux enfers ne semblant plus jamais s'arrêter, la vie alors que finalement on vous a retrouvé, que finalement on a réussit à vous sauvez malgré ce que votre corps avait enduré, a moitié glacé et écrabouillé.
Le début d'une descente aux enfers alors que tombe la nouvelle tel un couperet pour vous faucher, que votre famille entière a péris dans la maison n'ayant put résister aux secousses successives l"ayant ébranlée, un château de carte pour engloutir ceux que vous aimez, que de cette classe si soudée la moitié n'avait put en réchapper. Que partout, que chaque région, chaque continent avait été balayé par ce cataclysme sans précédent.
Que désormais vous êtes seul, entièrement seul hanté par ce visage qui vous a volé votre dignité, vous rendant incapable de contempler votre propre image, incapable même d'en parler, comme une blessure gravée à jamais.
Alors on fuit, on disparait, puisque plus rien ne nous retient sur les lieux où tout le malheur avait frappé, on fuit et on apprend à survivre de la seule manière qui parait désormais possible, elle devient un mode de vie, le moyen de tout avoir et de tout pouvoir, le pitoyable fil conducteur d'une existence de déchéance, finit le temps de l’innocence.
Starter
▬ Surnom : Belladona ▬ Race : Miaouss ▬ Sexe : Femelle ▬ Particularités (s'il en a) : Plusieurs cicatrices sur le corps
Belladona n'a pas toujours été un vulgaire chat de gouttière, il fut un temps où elle a appartenu à un dresseur, si temps est qu'on puisse appeler cette vermine un dresseur, leur partenariat fut de courte durée et pour cause, après un combat perdu son dresseur la laissa agonisante sur la route après l'avoir relâchée de sa pokeball.
Sa survie Belladona ne la doit qu'à elle et à elle seule, et c'est bien cette résolution qui a dictée l'intégralité de son existence en rejoignant la ville de Céladopole pour survivre, voler et charmer pour arriver à ses fins, se battre pour défendre ce qui lui appartient si c'était nécessaire.
La fourberie dans le seul but de la survie, pour un pokemon pour lequel toute confiance en les êtres humains s'est envolé comme une traînée de poudre.
Pseudonyme
▬ Prénom / Surnom : Alex ▬ Sexe : Masculin huhu ▬ Âge : 22 balais ▬ Personnage sur l'avatar : Zaizen de Prince of Tennis ▬ Comment as-tu découvert le forum ? Chrisou ! ▬ Autre Compte : Pas à ma connaissance /PAN/ ▬ Un commentaire? hum... Coucou ? /PAN/
Shirley Wayne
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Sujet: Re: Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé] 30.11.13 0:23
La Sélection
Arakdo
Skitty
Poissirène
Rozbouton
Scrutella
Funecire
Teddiursa
Miaouss
Mysdibule
Parmi les 6 starters de base, voici ma petite sélection :
• Teddiursa Chez lui, la beauté est une arme essentielle. Si mignon, si attendrissant, il peut s'en servir à outrance tout le monde tombera dans le panneau. • Miaouss Attiré par tout ce qui brille et plus. Il reste un pokémon vaniteux, bien que toujours envieux des autres, c'est dans sa nature. • Mysdibule Sa propre chevelure est une arme de destruction, et puis tout simplement parce que avec "Boréal", elle le vaut vachement bien !
Bienvenue sur P.Powa cher confrère coordinateur. En attendant que tu finisses ton histoire, je post ici ma sélection, en espérant qu'elle te convienne. Quelqu'un qui demande un pokémon vaniteux, je me devais de modérer. Bonne continuation pour ton histoire.
Hazel Y. Nicholae
coordinateur
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Sujet: Re: Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé] 01.12.13 19:29
Ayaaa !! Merci =D Miaouss sans hésitation aucune *w*
Shirley Wayne
guess the 3rd gender - modératrice
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Sujet: Re: Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé] 02.12.13 17:06
Je te donne déjà les stats de ton Miaouss, tu n'es pas encore validé. Il ne te manques plus que l'histoire, bonne écriture !
Miaouss ♀ Lvl 5
Attaques Capacité Séciale - Technicien : La puissance des attaques avec une puissance inférieure ou égale à 60 est augmentée de 50%. Griffe Rugissement
Objets • 3000P$ • 3 Pokéballs • 2 Potions
Chris Tsukiyo
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Sujet: Re: Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé] 16.12.13 12:11
Allez gros, faut pas déconner, gogogo ! D:
Hazel Y. Nicholae
coordinateur
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Sujet: Re: Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé] 05.01.14 15:29
Bon c'est médiocre, mais j'ai terminé oo
Chris Tsukiyo
Blond de la Mafia - Administrateur
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Sujet: Re: Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé] 06.01.14 22:03
Apparemment d'après Shirley tout est bon donc je valide ! T'as ta couleur, ton rang, tes groupes, voilà c'est tout beau. Maintenant direction le Pokématos avant de commencer à faire tes RP. Dedans tu devras mettre la description de ton équipe, les objets de ton sac (avec les changements apportés ce serait top), les transactions bancaires et la liste des RP que tu as fais. Voilà voilà si t'as des questions tu sais où me trouver.
Et t'es le premier coordinateur de Kanto du coup !
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Sujet: Re: Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé]
Cendrillon pour ses vingts ans est la plus jolie des enfants [Terminé]
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