Mon caractère ? Vous pensez surement que je suis une mondaine qui ne pense qu'à elle, et tiens, surement aussi une hypocrite ! Arrêtez don, de juger les gens sur l'apparence! Jugez les plutôt sur ce qu'ils sont tout au fond...

Iris est comme tous les autres. Quand je dis les autres c’est tout ces personnes qui se croient atypiques à cause de leur caractère angélique ou sadique voire diabolique. Elle croit quelle n’est pas comme eux, elle pense qu’elle est unique. Elle l’est mais, d’une certaine manière on y retrouve un air de déjà vu dans son esprit, son corps, tous son être. Car comme beaucoup de gens, elle veut être parfaite mais tous ce qu'elle réussit à récolter ces de la colère de la part de ses camarades. Elle fit blesser quand elle était petite, par ces ami(e)s ainsi que part des adultes. Ces a cause de sa quel veut devenir forte, elle veut pouvoir leur montrer quel a changé quelle est capable de dire stop. Dans le fond, elle espère pouvoir être méchante un jour avec les gens comme ça, pouvoir les piétiner en les foudroyant avec un regard de dégoût. Elle veut se mesurer à plus fort qu’elle, non, pas pour gagner. Pour qu’on l’arrête, dans cet engrenage dans lequel elle s'est épris plus jeune. Plus elle avance dans ce sens plus elle deviendra détestable. Mais heureusement pour nous tous, elle n’est pas encore arrivé à ce stade. Elle en est même encore qu’au début. Iris se voile la face, elle croit que son but ces d’être forte, mais tout au fond d’elle-même elle sait très bien que c’est pour faire du mal, qu'elle souhaite devenir comme ça. Pourtant elle essaie, elle essaie de devenir quelqu’un d’adorable, quelqu’un d’admirable, quelqu’un… juste quelqu’un de bien. Iris, et une égoïste, vaniteuse, et en plus têtu. Un caractère bien trempé… Mais elle essaie pourtant bien que mal de le cacher, et de ne montré que ça partie pur, pour que cela prouve quel est bien, cela lui donne confiance en elle-même. Elle se réconforte. Elle essaie, d’être serviable, heureuse. Mais ce n’est qu’une peureuse, elle fuit en choisissent cette option, elle craint tout, elle craint, les hommes, les femmes. Elle n’a pas encore trouvé son chemin cela est sur et certain. Elle est peut-être tout simplement haineuse, haineuse d’elle-même, elle se hait plus que tout être au monde. Elle chercherait simplement à se détruire, en se faisant mal, ainsi qu’aux autres. Quand elle parle les gens y voient peut-être, de la joie, de l’amour et autres paroles scintillantes de beauté. Mais elle ce qu'elle voyait, n’est que serpent et araignées sortir de sa bouche, elle aurait voulu être muette pour ne plus débiter autant d'absurdité... venant d’elle-même. C’est pour ça quelle c’est tu, pendant tout ce temps, elle restait muette. Pendant ce temps le monde l’admirait. Mais elle ne parlait plus… Pourquoi ne parlait-elle plus, elles au visage parfait et angélique miroitent de douceur et rayonnent de beauté ? ! Elle ne voulait plus exister, car elle n’avait tout simplement pas le droit de penser des horreurs pareil, souhaiter la mort de quelqu’un, n’est-ce pas regrettable ? Elle se meurtrit, torturé, malmené. Cette période fut très sombre, son caractère s’effaçait peu à peu, plus elle avançait, plus il disparaissait, elle n’était plus maître de son propre jeu. Pour en finir avec cela, il aurait suffi qu'elle soit normale. Elle fit tout son possible pour changer, mais elle continue de se cacher derrière se voile de pureté qui s’impose à elle comme une évidence. Se voile et pur, beau, noble, délicats, radieux et ravissant, mais ce n’est pas elle. Et pourtant on la croit ainsi.

Je veux bien ta la comté, car j'en ai envie....

Je ne voulais pas. Je ne voulais pas vivre dans un monde comme celui-ci ! je ne veux pas ! Ou plutôt est-ce à moi de changer ?… Le monde est beau, le monde et pur, le monde, n’est pas moi. Moi je ne suis que ce grain, parmi des milliers sur cette plage de sable fin blanc. Tout ce que je veux c’est que mes pas soit guidé par le rythme de cette mélodie entraînante… J’ai toujours eu une vie, assez étrange. Mes parents étaient normaux, ils étaient normaux, tout était normal ! Sauf moi, pourquoi étais-je étrange ? Car je passais mes journées à regarder mon père travailler avec ces animaux hors du commun. Non il n’y avait rien d’étrange à cela. Ce qui était étrange, et que je ne ressentais aucun sentiment, sauf, quand je regardais mon père travailler avec eux. Plus je grandissais, plus j’étaie attirer par ces étranges bestioles. De tailles différentes, de couleur ainsi que de forme. Une nuit, non, la nuit, oui la nuit, ou la lune éclairait particulièrement fort, le reste paraissait si sombre, alors qu’elle, la lune était au milieu, pure, comme un ange l’évitent dans le ciel. Est-ce un rêve ? Sûrement, mais ce rêve était magique, pour la première fois je rêvais de ces animaux, oui, ils était si gracieux, j’aimerais être comme eux... Depuis ce rêve me hante, je me presse de devenir comme eux ou du moins de faire passer mes émotions a travers eux.
Qu’est-ce que je fais donc, ici ? Oui, je me suis arrêté devant cette vitrine. Je regardais les yeux ébahis, cette télévision, diffusant… Je ne sais pas, une sorte de concours . Oui une sorte de concours ou d'étranges animaux faisait de merveilleuses figures avec leur pouvoir si surnaturel. Leur petite tête et leur gros oeil noir me donnaient envie de les toucher. Je tendis, alors ma main, mais l’écran nous séparais. Cet écran vide et transparent ne faisant que retransmettre des images. Je couru le plus vite possible chez moi en catastrophe. Elle était là dans la cuisine et me regardait fixement, cette personne . C’était ma mère. Elle vint vers moi, je ne la détestais pas et pourtant mon instinct me força à faire ce geste horrible, d’une fille a sa mère. Elle me toucha la joue… Je lui donnai une claque protestante qu'elle n’avait pas le droit de me toucher. Je fis mon sac, elle me regardait dans le coin de la pièce, les larmes aux yeux. Tous se passa si vite, je n’avais pas peur, pas peur de faire du mal aux gens que j’aime… aux gens que j’aimais. C’est pourtant elle, elle qui m'a faite à partir de rien. Je fis alors une fugue. J’errais dans les ruelles recouvertes d'un voile blanc soyeux et inexistant, à un simple toucher, il disparaissait, ce voile blanc. Je m’assis alors sur un escalier. Et vis passer plusieurs couples et familles heureuses. Les gens me regardaient avec m’éprit. Je me sentais, tout bonnement seul, sans ami(e)s, sans famille. Et pourtant quoique je faisais pitié à tout ces personnes, ce petit animal vint se blottir dans mon manteau. Il était si fragile, mais paraissait si fort. Je m’endormis à c’est coter. Après cette journée, l’animal frêle avait disparu, mais pour moi, il était mon sauveur, grâce à lui j’avais vu clair, j’avais compris le sens de ma vie. Je rentrai alors chez moi, la gorge serré après ce que j’avais pu faire à ma mère. Je restai planté devant la porte longtemps. Cette porte, glacée a l’extérieur mais chaude a l’intérieur. Je toquai mon point fermer sur la porte. Je ne sais pas pourquoi, mais je pleurais. Je restais pourtant impassible… Mon père ouvrit, l’air atterré, il me gifla à son tour puis me sera fort dans ces bras. Cela peut avoir l’air bête, mais j’étais contente qu’il m’ait giflé c’est pour moi, un nouveau départ. Quelques années plus tard je décidai de partir à l’aventure, et de faire découvrir au monde mes émotions. je veux faire découvrir la beauté de l’âme, a travers ces animaux. Je n’aspire qu'a une seule chose ! Et je c’est à eux que j’aspire.

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