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 Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak]

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MessageSujet: Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak]   Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak] Empty08.12.12 21:53

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MessageSujet: Re: Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak]   Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak] Empty09.12.12 15:34

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Blond de la Mafia - Administrateur
Chris Tsukiyo
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Chris Tsukiyo



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MessageSujet: Re: Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak]   Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak] Empty12.12.12 13:33

« Jane ! Tu rentres avec nous "aujourd'hui ? »

Enfilant ses chaussures de villes dans la salle des casiers à l'entrée du lycée, la jeune fille adressa un grand sourire à celles qui semblaient être ses amies, tout en acquiesçant. En la voyant ainsi discuter naturellement avec elles sur la route, Jane semblait être une lycéenne tout à fait ordinaire. D'un naturel social, elle était très bien entourée et aimée de ses camarades, bien que son fort caractère, et son coté bagarreur lui avait fait quelques ennemis qu'elle ignorait. Elle avait également tendance à sécher les cours, et ne portait pas l'uniforme selon le règlement : la cravate en dehors de la chemise blanche, la veste noir ouverte, les chaussettes en rayure noire et blanche comme toujours, les cheveux teint en mauve. Mais elle ignorait ses professeurs ainsi que le conseil des élèves, qui la tannait également pour ses étranges taches de naissances violette tout ses yeux qu'ils pensaient être des tatouages. Cela avait beau être bizarre, il n'en était rien, Jane possédait ses taches depuis sa naissance et avait apprit à vivre avec.

Elle avait beau avoir l'air de bien s'entendre avec ses camarades de classe, et semblait s'être fait des amis, il n'en était rien dans la tête de l'adolescente, pour elle, ces relations étaient juste factice, et ne servait qu'à la couvrir... ou à emprunter de l'argent le midi quand elle n'avait rien.

« Je suis rentrée. »

L'adolescente pénétra dans une maison encore une fois tout à fait banal, qui ne semblait en rien suspect. Celui qu'elle appelait "le vieux", devait certainement être sortit puisqu'elle n'entendait aucune réponse. Posant son sac contre un mur a l'entrée, elle se dirigea vers le salon, sortant un vieux porte feuille en cuir volé à une femme âgée, sur la route, de sa poche, vérifiant le contenant.

« 10 P$ ?! Pfft... »

Déçu par sa trouvaille, elle jeta l'objet sur le canapé, avant de se changer en une tenus plus discrète. Puis partir en direction des bas quartiers de la petite ville de Vermilava : sombre même en plein jour, nauséabond, peuplé par de nombreux sans-abris et ivrognes en tout genre, n'importe qui aurait à tout prix évité ces ruelles. Malgré cela, Jane parcourait celles ci sans aucune gène, avant de s'arrêter devant une vieilles porte qui semblait à peine tenir debout, puis toqua "poliment". L'absence de réponse, fit froncer les sourcil de la jeune sbire, qui défonça alors la porte tremblante d'un coup de pied, faisant ainsi face à un homme de la cinquantaine, qui avait trébucher, surprit par le vacarme. Sans même aucun dialogue, il connaissait la raison de sa présence.

« L'heure tourne, l'heure tourne vieux shnock. Tu sais ce que cela veut dire ? »

L'homme voulu se lever, mais la jeune fille l'en empêcha en lui écrasant l'épaule avec son pied, le plaquant ainsi au sol. En effet elle avait observé des valises non loin de l'homme, et l'appartement complètement vidé.

« Tu te fous de moi là ? »

L'homme bégayait, tandis que Jane perdit patience, exerçant une pression de plus en plus forte sur son épaule qui lui arracha un léger cri de douleur, puis sortit alors un pistolet de son sac en bandoulière, petit, discret, mais efficace. Il était désormais pointé sur l'homme dont des larmes de terreur perlait les cils.

« Je compte jusqu'à trois. »

Relâchant sa victime, celui-ci sans même prendre la peine de se relever, se dirigea vers l'une des valises, fouillant frénétiquement dedans, pendant le très, très lent décompte, et y sortis plusieurs liasses de billets, qu'il remit à la jeune fille qui comptait rapidement la somme, avant de ranger l'argent, le pistolet et de quitter les lieux.

Lorsqu'elle rentra chez elle, son tuteur était déjà rentré, et examinait le porte feuille abandonné plus tôt sur le canapé, avant de soupirer.

« Tu as remis ça... »

La jeune fille ne répondit rien, elle était consciente qu'il fallait rester très discret dans le quartier pour la mission de Theron, un commandant de la team rocket, qui trois ans auparavant, avait surprit Jane alors qu'elle volait sur le marché d'un village. Il l'avait alors prit sous son aile, et l'avait fait rejoindre la team rocket. Elle avait alors voyager avec lui a travers les régions, en lui apprenant le « métier », jusqu'à s'installer à Vermilava pour une mission dont elle ignorait le contenu, ce n'était qu'une simple sbire après tout. Elle se contentait donc de récupérer l'argent emprunté à la team rocket par les habitants de la ville, sans chercher à en savoir plus. Theron la sortit de ses pensées en sortant une lettre décacheté.

« Tu as été promu, félicitation. »

Malgré son visage resté impassible, on sentait une certaine fierté dans la voix du quadragénaire, qui tapotait la tête de la jeune fille surprise avec l'enveloppe. Cette dernier poussa un cri de triomphe, après tout grimper les échelons c'était son but. Enfin son humeur changea immédiatement après qu'elle apprit la seconde nouvelle.

« On t'a affecter un partenaire, pour une mission d'une haute importance, il arrive ici demain, tache de revenir directement après les cours... hum, vu ta tête, tu vas t'enfuir alors je viendrais te chercher, n'essaye de filer en douce je le saurais. j'appellerais le lycée. »

Malgré les protestations de la jeune fille, il se tu, l'ignorant et retournant à ses occupations.
Comme il l'avait prévus, Jane avait tenté en vain de filer en douce, c'est pourquoi il l'avait traîné jusqu'à la maison et forcé à rester dans son champs de vision. Jusqu'à l'arrivée du futur « partenaire » de la jeune lieutenant.



________________________________________________________________




Trois heures plus tard, le long des façades rocailleuses de la montagne du sinistre les roches vibrèrent pour s’écarter, laissant assez de place à une ombre pour s’y engouffrer donnant accès à un long couloir. Celui-ci, tapissait de métal aussi froid que la pierre volcanique était chaude, s’enfonçait dans les abîmes de l'obscure montagne. Au bout, le corridor se divisait en dédale, comportant différentes pièces, certaines éteintes, d’autres non. Dans l’une d’elle, la lueur brillait faiblement. Une sorte d’éclat de lumière, à la puissance diffuse et concentrée, qui scintillait très bas, presque au ras du bureau de Grant Barton, assis dans l’ombre. Face à lui, derrière le halo, se dressait la haute silhouette d’Isaac Colins. Il venait de résumer, laconiquement, le rapport qu’il avait rédigé sur sa mission nocturne. Grant demanda sceptique :
— Comment vas ton coéquipier ?
— Norman ? Coma. Fracture faciales multiples.
— Et la cargaison ?
— Là où elle doit être. Même s’il manque la moitié à cause de l’intervention des rangers.
Grant acquiesçait, incrédule. Après un silence il reprit :
— Et pour l’état de Norman ? Tu es vraiment sûr que c’est un coup de sabot d’un ponyta qui l’a mis dans cet état ?
Isaac ne répondit pas et se tourna vers la fenêtre. Sous la lune de craie, on discernait les étranges motifs pastel qui couvraient les paysages encore restant de l’ancien cataclysme : des nuages, des arc-en-ciels, qui planaient au-dessus des collines grise du nouveau monde. La voix de Grant s’éleva encore :
— Je ne comprends pas, Colins. Comment fais-tu pour revenir avec tes coéquipiers dans de tels états. Vraiment, je...
Sa voix s’éteignit. Isaac gardait le silence.
— Ce n’est plus possible, reprit Grant. T’es une catastrophe pour nos effectifs. Tu es incapables de te déplacer en équipe. Mais l’organisation se repose sur des équipes, qui travaillent ensembles. Un minimum.
Isaac se retourna et marcha vers son supérieur hiérarchique.
— Venez-en vite au fait, Barton. Pourquoi m’avez-vous appelé ici en pleine nuit ? Quand vous m’avez appelé vous ne pouviez pas être au courant pour l’embuscade des rangers. Alors quoi ?
L’ombre de Barton ne bougeait pas. Épaule large, cheveux noirs grisonnant, visage en flanc de montagne. Un physique dur au regard stricte. Le commandant dirigeait depuis plusieurs années le bataillon de la team Rocket dans lequel Isaac était affecté. Le sbire coiffé en bataille se pencha et répéta :
— Alors quoi ?
Grant souffla :
— Tu as été promu.
— Hein ? Comment se fait-ce ?
— Bien que tu sois une catastrophe humainement, tu réussis toujours tes missions et ceux sans jamais rien demander en retour. Mais c’est surtout pour te responsabiliser.
— Me responsabiliser ?
— En effet, en passant lieutenant tu vas devoir avoir un coéquipier officiel ayant le même statut que toi et diriger des sbires. Il te sera donc plus difficile de te débarrasser de ton collègue qui ne sera plus un sbire novice comme Norman.
— Vous vous foutez de ma gueule ?
— Tu as même un cadeau de la part d’en haut.
Grant posa une pokéball sur la table. Isaac la regarda quelque instant avant reposer son regard sur le commandant. Il répondit froidement :
— Vous savez que je ne travaille pas avec ce genre de chose.
— Tu apprendras car tu n’as pas le choix. Tu es un bon élément, mais on en a marre de te revoir revenir dans des états pitoyables car tu as réglé toi-même les conflits, en te servant bien sur de tes collègues comme bouclier. Et si j’étais toi je me la ramènerai pas.
Isaac ne répondit pas, serrant les dents. Il était évident qu’il ne pouvait pas aller contre les décisions d’en haut, il n’était pas dans la police respectant les lois, mais dans une organisation criminelle qui n’avait aucun scrupule à se débarrasser des récalcitrants. Et puis d’une certaine manière cette monté en grade n’avait pas que des désavantage, il n’aurait plus à obéir aux autres lieutenants. Isaac prit la pokéball, l’accrochant à sa ceinture puis demanda :
— Et il se trouve où cet équipier ?
— Elle se trouve à Vermilava dans la région d’Hoenn ?
— Elle ? Voyons commandant, je n’ai pas besoin de me caser.
— Elle a dix-sept ans.
Grant put voir le visage d’Isaac se décomposer. Il reprit :
— Ne t’en fais pas, elle est très compétente. Élevée par le commandant le commandant Theron depuis son plus jeune âge. Elle sera d’ailleurs avec lui, il vous donnera votre première mission ensemble. Tu lui apporteras aussi cette pokéball, tous les lieutenants ont un pokémon reçu de l’organisation équivalant à leur niveau.
— Et comment je vais les reconnaître.
— Un grand taciturne et une petite violette. Tu ne peux pas le rater. De plus tu as l’adresse sur ton rapport. Il y a aussi la description de ton pokémon. Sur ce, bon courage.
Isaac attrapa le bout de papier et sortie du bureau en claquant la porte, faisant vibrer le chambranle. Il asséna un dernier coup de poing au mur, provoquant un écho grave, et resta quelques secondes immobile.
— Fait chier, souffla-t-il.

Sous le ciel morne, la route d’asphalte serpentait à travers la montagne, desservant de petits villages en reconstruction à ses pieds. Isaac s’était décidé à partir au petit matin, après un court sommeil où il n’avait fait que somnoler. Il respira à fond, il tombait une pluie fine et gracile.
Il avait pris le stricte nécessaire pour voyager, quelques vêtements, des vivres, ses armes et ses faux-papiers. Il glissa sa main dans son long manteau rouge pour attraper son paquet de cigarette lorsqu’il frôla un objet rond. Le retirant en même temps que son paquet dont il tira une cigarette pour l’allumer, il vit que c’était un pokéball, celle de sa future collègue. Se rappelant qu’il en avait une aussi, il rangea celle qu’il avait en main et décrocha l’autre de sa ceinture. Isaac la fit tourner entre ses doigts, sceptique avant d’appuyer sur le bouton blanc bordé de noir. La ball s’ouvrit, libérant de son sein une lumière rouge et aveuglante qui vint former une aura lumineuse d’où se dessina rapidement la forme d’un animal. La chose déploya ses ailes dans un cri strident à vriller les tympans. La bête posa ses pattes au sol, regardant l’humain avec un regard mauvais.
— Bordel... c’est quoi ce truc ? Fit Isaac en voyant le pokémon.
Il attrapa son pokédex, lui servant la plupart du temps à classer les pokémons qu’il volait en fonction de leur rareté. Il l’ouvrit et lu ce qu’il disait.
— Ptéra était le roi des cieux à l'époque préhistorique, mais il a aujourd'hui disparu. On sait qu'il employait sa gueule garnie de crocs pour égorger ses victimes. Il arpentait les cieux préhistoriques en étirant ses longues ailes, en se laissant porter par les courant chauds. On pense qu'il était d'une nature très agressive.
— Je vois, t’es une expérience des laboratoires de la team Rocket. Mais je me demande bien pourquoi il me donne un pokémon aussi rare...
Isaac s’approcha du ptera qui se mit vagir de façon inquiétante, prêt à le décapiter. Il recula.
— Je viens de comprendre. Tu es totalement inexploitable, un être agressif qui se laisse pas approcher hein ? On peut dire qu’ils t’ont bien choisi pour moi. Bon maintenant rentres dans ta pokéball.
L’albinos dirigea le faisceau pourpre vers le colosse de deux mètre trente qui l’esquive.
— Bon... tu veux pas rentrer c’est ça ?
Le ptera grogna.
— Soit, si tu veux, mais tu traines pas dans mes pattes ! Je te laisse voler là-haut, tu n’auras qu’à surveiller les alentours.
La bête fut troublée, c’était bien la première fois qu’on l’enfermait pas de force. Elle se détendit légèrement et commença à déployer ses ailes pour s’envoler lorsqu’Isaac s’approcha. Elle se remit à rugir.
— Hola calme ! T’ain c’est pas vrai ça, je ne vais pas te battre hein !... pas comme ceux qui t’ont fait c’est cicatrice. T’es quoi un mâle. Le ptera répondit négativement. Une femelle, ok. Je vais pas t'appeler Ptera, tu mérites un nom. Tu répondras au nom de Narisha Wrath.
Le dinosaure n’eut pas vraiment son mot à dire sur son baptême, mais elle ne s’en plaint pas. Elle s’envola et suivit son nouveau maître dans les entiers battus. À ce moment-là, Narisha aurait pu fuir en quelques coups d’ailes, mais cet humain l’intriguait. Elle qui n’avait vu que les scientifiques de la team Rocket qui l’avaient maltraité depuis sa naissance, elle pensait pas que certains humains pouvait être différent.

Il lui fallut une semaine pour arriver enfin à destination. Le soleil se levait sur Vermilava. Un soleil de décembre tiède et blafard comme une mauvaise convalescence. Isaac traversa la ville morte qui affichait encore à cette heure - des lueurs blanchâtres de feux follets.
Vermilava était ni une bourgade en reconstruction. Elle se déployait dans les montagnes juxtaposées au mont du sinistre, déroulant ses immeubles et ses bâtissent encore nu, découvrant leurs échafaudages, sans autres signes particulier. La ville laissait planer une odeur de bitume frais et de poussières mélangées à du ciment. Le silence s’était installé pendant une courte durée, les ouvriers commençant à allumer les premières machines pour continuer leur labeur.
Seul le centre ville affichait une légère spécificité : une petite source chaude rappelant les thermes de la Rome antique ; source de leurs richesses pour reconstruire leur village.
La maison de sa coéquipière, ou devrait-on dire de son tuteur, était situé plein est, à l'opposé des sources. La bâtisse se situé entre deux autres, au bout d’une rampe de béton qui surplombé une route d’asphalte à peine usée. Isaac s'approcha de la maison, remettant ses lunettes de soleil droite pour vérifier l’adresse et soupirant s'apprêta à sonner. Mais un bruit de tonnerre de fit entendre, avant que des bruit sourd de tuiles se brisant sur le sol se fassent entendre. Inquiet, il leva lentement la tête pour apercevoir Narisha qui s’était tout simplement posée sur le toit. Il maudit ses supérieurs et appuya sur la sonnette.

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MessageSujet: Re: Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak]   Un partenariat difficile [Pv Isaac Freak] Empty12.12.12 14:10

60 points pour Jane !
Un RP simpliste, pas grand chose à dire.

85 points pour Isaac.
Un texte pas très aéré à première vue mais la couleur qui différencie narration et dialogue donne une coupure. Un voit très bien le caractère d'Isaac, j'ai bien aimé.

Ce message sera supprimé. Les points ont pas été mit en édition parce qu'Isaac voulait tricher. (d)
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